Clinical studies find that childhood adversity and stressful life events in adulthood increase the risk for major depression and for suicide. The predispositions to either major depression or suicide are thought to depend on genetic risk factors or epigenetic effects. We investigated DNA methylation signatures postmortem in brains of suicides with diagnosis of major depressive disorder. DNA methylation levels were determined at single C-phosphate-G (CpG) resolution sites within ventral prefrontal cortex of 53 suicides and nonpsychiatric controls, aged 16 to 89 years. We found that DNA methylation increases throughout the lifespan. Suicides showed an 8-fold greater number of methylated CpG sites relative to controls (P < 2.2 x 10(-16)), with greater DNA methylation changes over and above the increased methylation observed in normal aging. This increased DNA methylation may be a significant contributor to the neuropathology and psychopathology underlying the risk of suicide in depression.
Los estudíos clínicos han encontrado que la niñez adversa y los acontecimientos vitales estresantes en la adultez aumentan el riesgo para la depresión mayor y para el suícídío. Se piensa que la predísposición tanto para la depresión como para el suicidio depende de factores de ríesgo genético o de efectos epígenéticos. Se investigaron los signos de metilación del ADN en cerebros postmortem de pacíentes suícídas con díagnóstíco de depresíón mayor. Los níveles de metílacíón del ADN se determínaron en resolución única de Cítosinafosfato-Guanina (CfG) en la corteza prefrontal ventral de 53 pacíentes suicidas y de controles no psiquíátricos con edades entre 16 y 89 años. Se encontró que la metílación del ADN aumenta a lo largo de la vída. Los pacientes suícidas mostraron un número 8 veces mayor de sitios CfG metílados en relacíón con los controles (p<2,2x10-16), con cambíos mayores en la metilación del ADN, por sobre lo observado en el envejecímíento normal. Este aumento en la metílación del ADN puede contribuir de manera signifícativa a la neuropatología y a la psicopatología que están a la base del riesgo de suicidio en la depresión.
D'après des études cliniques, le malheur dans l'enfance et les événements de vie stressant à l'âge adulte augmentent le risque de dépression caractérisée (majeure) et de suicide. Les prédispositions à la dépression caractérisée ou au suicide dépendent probablement de facteurs de risque génétiques ou d'effets épigénétiques. Nous avons analysé des signatures postmortem de la méthylation de l'ADN dans des cerveaux de suicidés diagnostiqués comme ayant eu un épisode dépressif caractérisé. Nous avons déterminé les taux de méthylation de l'ADN avec une résolution CpG (C-phosphate-G) à site unique dans le cortex préfrontal ventral de 53 suicidés et témoins non psychiatriques âgés de 16 à 89 ans. Nous avons trouvé que la méthylation de l'ADN augmente tout au long de la vie. Le nombre de sites CpG méthylés étaient multipliés par 8 chez les suicidés par rapport aux témoins (p<2,2x10-16), avec des changements de méthylation de l'ADN plus importants, allant au-delà de l'accroissement de la méthylation observé dans le vieillissement normal. Cette augmentation de la méthylation de l'ADN peut participer significativement à la neuropathologie et à la psychopathologie qui sous-tend le risque de suicide dans la dépression.
Keywords: DNA methylation; aging; depression; epigenetics; mood disorder; suicide.